Fan de mystères et d’ésotérisme, sauras-tu résoudre cette suite bien mystérieuse : Aaaaaahhhh ! Ouinnnnnnnnn ! Chting ! Hum-hum !
Non, je ne suis pas fou…Enfin, pas plus qu’hier et surtout moins que demain !
Alors, peuple en délire, voici l’explication de cette mystérieuse énigme !
Aaaaaaahhh, c’est le cri de désespoir poussé par votre serviteur en tournant la dernière page du roman. Pourquoi c’est déjà fini ? Pourquoi ? POURQUOIAAAAAAAAHH ? Question sans réponse et qui débouche sur des sanglots : Ouinnnnnnnn !!!!
Le chagrin est vite compensé en me remémorant les bons moments passés à lire les deux premiers romans d’Agnès. Du coup, dès que j’y repense, Chting, un grand sourire vient se greffer sur mon visage (d’une pureté exemplaire grâce au masque de beauté à base d’argile et d’huile d’arbre à thé).
Quant au Hum-hum, si vous n’avez pas lu le roman (vous pouvez vous fouetter avec des orties ou visionner l’intégrale de films de Steven Seagal, car c’est tout simplement inadmissible et vous méritez un châtiment exemplaire!), je ne vous dévoilerai pas sa signification (vais pas tout vous expliquer non plus !).
J’avais adoré (le mot est faible), « Les Tribulations d’une Jeune Divorcée ». Alors que dire de sa suite, « Au secours, il veut m’épouser » ? C’est encore mieux !
Les trois premières pages sont mythiques (et je pèse mes mots). Un moment, j’ai cru m’être trompé de livre. La scène d’ouverture est torride. Et puis finalement…Ah ben non…Difficile de ne pas éclater de rire quand on découvre de quoi il s’agit vraiment !
La suite du roman nous propose de partager à nouveau la vie de Déborah. On découvre ses crises de jalousie, un nouvelle soirée pyjamas avec ses copines (avec ce concours, à mourir de rire, de la chanson française la plus ringarde des années 80), les manigances du CDD (Club des Défenseuses du Discernement), l’éternel décalage entre les hommes et les femmes (ou comment un homme peut prendre des vieux sous-vêtements en coton pour de la lingerie Aubade ou La Perla !!), une séance de spiritisme (« L’exorciste » à côté, c’est l’Ile aux Enfants), ou des vacances de rêve (non je déconne !) à Perros-Guirec.
Le talent d’Agnès Abécassis est dans sa capacité à nous raconter des histoires bien ancrées dans le quotidien avec un ton et un humour dévastateurs. Les dialogues sont toujours de petits bijoux et je me délecte de ses commentaires entre parenthèses (normal car, en toute modestie, je pratique également cet art ô combien difficile !!).
J’ai pris encore plus de plaisir à lire ce second opus des aventures de Déborah. Et, encore une fois, je ne peux que conseiller à la gente masculine de franchir le pas (si ce n’est déjà fait) et d’oublier ces clichés sur « les livres de filles ».
Merci à Agnès pour ces moments jubilatoires de rires mais aussi d’émotion !
Non, je ne suis pas fou…Enfin, pas plus qu’hier et surtout moins que demain !
Alors, peuple en délire, voici l’explication de cette mystérieuse énigme !
Aaaaaaahhh, c’est le cri de désespoir poussé par votre serviteur en tournant la dernière page du roman. Pourquoi c’est déjà fini ? Pourquoi ? POURQUOIAAAAAAAAHH ? Question sans réponse et qui débouche sur des sanglots : Ouinnnnnnnn !!!!
Le chagrin est vite compensé en me remémorant les bons moments passés à lire les deux premiers romans d’Agnès. Du coup, dès que j’y repense, Chting, un grand sourire vient se greffer sur mon visage (d’une pureté exemplaire grâce au masque de beauté à base d’argile et d’huile d’arbre à thé).
Quant au Hum-hum, si vous n’avez pas lu le roman (vous pouvez vous fouetter avec des orties ou visionner l’intégrale de films de Steven Seagal, car c’est tout simplement inadmissible et vous méritez un châtiment exemplaire!), je ne vous dévoilerai pas sa signification (vais pas tout vous expliquer non plus !).
J’avais adoré (le mot est faible), « Les Tribulations d’une Jeune Divorcée ». Alors que dire de sa suite, « Au secours, il veut m’épouser » ? C’est encore mieux !
Les trois premières pages sont mythiques (et je pèse mes mots). Un moment, j’ai cru m’être trompé de livre. La scène d’ouverture est torride. Et puis finalement…Ah ben non…Difficile de ne pas éclater de rire quand on découvre de quoi il s’agit vraiment !
La suite du roman nous propose de partager à nouveau la vie de Déborah. On découvre ses crises de jalousie, un nouvelle soirée pyjamas avec ses copines (avec ce concours, à mourir de rire, de la chanson française la plus ringarde des années 80), les manigances du CDD (Club des Défenseuses du Discernement), l’éternel décalage entre les hommes et les femmes (ou comment un homme peut prendre des vieux sous-vêtements en coton pour de la lingerie Aubade ou La Perla !!), une séance de spiritisme (« L’exorciste » à côté, c’est l’Ile aux Enfants), ou des vacances de rêve (non je déconne !) à Perros-Guirec.
Le talent d’Agnès Abécassis est dans sa capacité à nous raconter des histoires bien ancrées dans le quotidien avec un ton et un humour dévastateurs. Les dialogues sont toujours de petits bijoux et je me délecte de ses commentaires entre parenthèses (normal car, en toute modestie, je pratique également cet art ô combien difficile !!).
J’ai pris encore plus de plaisir à lire ce second opus des aventures de Déborah. Et, encore une fois, je ne peux que conseiller à la gente masculine de franchir le pas (si ce n’est déjà fait) et d’oublier ces clichés sur « les livres de filles ».
Merci à Agnès pour ces moments jubilatoires de rires mais aussi d’émotion !
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