J'en reviens toujours pas, j'y croirai une fois dans la salle le 17 juin prochain...


Ma connaissance de l'oeuvre de Wells se limite, je l'avoue humblement, aux adaptations cinématographes plus ou moins réussies (la Guerre des mondes, La Machine à explorer le temps ou L'ile du docteur Moreau).
"Flore grandit trop vite. Sa mère n'est jamais là et son père s'est volatilisé le jour de sa naissance. Pour s'occuper d'elle, dans l'appartement parisien cossu, il y a Amira, «cent treize kilos de graisse, d'alcool, de tristesse aussi». Amira qui boit. Amira qui la bat. Et sa mère qui ne voit rien, qui ne veut pas savoir"
"Qui a tué Carl Rudolf Schiller, un théologien berlinois de renommée mondiale, et coupé soigneusement son cadavre en deux ? Raphaël Zimmer, un jeune historien spécialisé dans la Seconde Guerre mondiale, se laisse convaincre par son ami, le journaliste Félix Werner, de l'aider dans son enquête.
Dès le générique (des mains d’enfants qui déchirent une tapisserie) et les premières images, on comprend que « l’Orphelinat » n’est pas un film comme les autres. L’ambiance très particulière, la mise en scène, le rythme lent (ce n’est pas péjoratif !) nous renvoient vers « Les Autres ». Ce film possède une identité propre, à cent lieues des stéréotypes américains ou de l’école japonaise. Les espagnols ne s’y sont d’ailleurs pas trompés en réservant un accueil triomphal et historique à ce somptueux film ibérique.
Imaginez…
Fan de mystères et d’ésotérisme, sauras-tu résoudre cette suite bien mystérieuse : Aaaaaahhhh ! Ouinnnnnnnnn ! Chting ! Hum-hum !